Bonus 1 : Moresnet


En « bonus », nous publierons régulièrement la description détaillée d’itinéraires de randonnées qui ne figurent pas dans les deux guides « 15 Randos en Ardenne ».



MORESNET
Au pays des Trois Frontières


Proche des Hautes Fagnes, et pourtant si différente ! La région de Moresnet nous offre un séduisant paysage de collines verdoyantes, animé par les méandres de la Gueule et les nombreux ruisseaux qui la rejoignent. Mais aussi par de surprenants viaducs, vieilles fermes et châteaux…


Longueur :     25,000 km

Profil : modérément vallonné, sans difficultés particulières.

Carte IGN : 43/1-2 

Point de départ : À Moresnet, le petit parking rue du Village, entre le pont sur la Gueule et l’arrêt TEC, en face des maisons n° 59 à 63.
Coordonnées GPS : N 50°43.238, E 5°59.213

Pour y parvenir : De Liège, suivre l'autoroute E40 vers Aachen. Quitter l'autoroute à la sortie n° 37 bis. Tourner à gauche vers Henri-Chapelle. Au rond-point avec la N3, tourner à droite. Traverser Henri-Chapelle. Passer à hauteur de Montzen, puis prendre à gauche la N613 vers Moresnet.


Première section : de Moresnet au Hammerbrücke (8,100 km)

À hauteur de la maison n° 59, on s’engage dans le parc en direction du viaduc (plaque : Rue du Parc). Banc.

Le viaduc de Moresnet a été construit par les Allemands en 1916-1917, la main d'œuvre étant fournie par les prisonniers russes dans des conditions de travail particulièrement pénibles. Il a été dynamité le 10 mai 1940, reconstruit par l'occupant, et détruit à nouveau en septembre 1944. Il a été reconstruit après la fin de la Guerre, et modernisé en 2002-2005.
Constitué de 22 tabliers métalliques à double voie, il est long de 1108 m, et sa hauteur atteint  58 m. La vitesse y est limitée à 60 km/h.

Au bout de cette rue, on continue tout droit, franchissant un portillon. On traverse la prairie, on passe sous le viaduc, et l'on oblique vers la gauche.
On franchit un deuxième portillon, et l'on tourne aussitôt à gauche pour gravir quelques marches et franchir un troisième portillon. On rejoint ainsi un sentier herbeux que l'on suit vers la droite.

On néglige ensuite un tourniquet donnant accès à un sentier à droite. 20 mètres plus loin, on franchit une chicane et l'on s'engage sur un sentier sous les arbres, longeant, à main droite, une rivière : la Gueule.
La Gueule prend sa source à proximité de la frontière allemande, du côté d'Eynatten et de Lichtenbusch. Elle se jette dans la Meuse à Meerssen, après un parcours de 56 km.



Un peu plus loin on passe un tourniquet (balise : "Routes des Frontières 2") et l'on accède à une prairie, où l'on choisit la piste la plus à droite, plus ou moins parallèle à la Gueule.

On franchit un nouveau tourniquet, puis une passerelle sur un ruisseau, et l'on poursuit dans un bois d'épicéas, longeant la rivière. Au-delà du bois on retrouve un étroit sentier, longeant toujours la Gueule. Jolie perspective sur la droite, vers le viaduc de Moresnet.

On arrive bientôt à un embranchement en T, à hauteur d'un pont sur la Gueule. On tourne à gauche sur un chemin empierré (balise : rectangle bleu et blanc).

On suit ce chemin sans dévier, passant devant une maison isolée puis devant des installations de tennis. On parvient bientôt aux premières maisons de Kelmis (La Calamine), puis à la grand-route (Nationale 3).
On traverse celle-ci avec prudence, et l'on tourne à gauche.

Curieux passé que celui de Kelmis (La Calamine) : jusqu'à la fin du XIXe siècle on y exploita une importante mine de zinc (la mine de la "Vieille Montagne"), ce qui suscita bien des convoitises - et donc des revendications -  de la part de la Prusse, des Pays-Bas et plus tard de la Belgique. Il en résultat pour Kelmis un statut de "territoire neutre", qui donna lieu à des contestations répétées. Finalement, en 1919 le Traité de Versailles attribua tout le territoire à la Belgique.

200 mètres plus loin, on tourne à droite, à angle très aigu, pour s'engager sur un petit chemin (balises : rectangle rouge et blanc, rectangle bleu, marquage GR jaune et rouge '563'). On longe à nouveau la Gueule.

On traverse la rivière sur une passerelle, et l'on franchit aussitôt un tourniquet à gauche. On poursuit alors sur une piste herbeuse, parsemée de dalles (balise : marquage GR). On néglige une piste vers la gauche, et l'on continue tout droit, en montée.

On quitte bientôt le GR, qui file vers la droite, et l'on suit un chemin herbeux en montée. Il vire progressivement vers la gauche.
À la hauteur d'un bosquet, on tourne aussitôt à gauche sur un sentier sous les arbres.
On rencontre bientôt un passage accidenté, en descente (vigilance requise !).

On arrive ensuite à un embranchement, à la sortie d'un virage vers la droite.
On néglige le sentier le plus à gauche. Au bas de la descente, on rencontre un Y. On tourne à gauche, on franchit la Gueule, on passe sous une arche de pierre, et l'on tourne à droite sur un chemin empierré.



Celui-ci se dédouble bientôt, longeant l'enceinte du domaine du château d'Eyneburg.

On passe bientôt devant une falaise rocheuse : le Rocher du Casino (appelé aussi "Rocher de Hergenrath"), équipé pour l'escalade. Bancs.
A travers les arbres, on peut apercevoir, à droite, perché sur une hauteur, le château d'Eyneburg.
Le Château d'Eyneburg, d'origine médiévale, a été classé monument historique en 1966. Depuis 2001, il est rouvert au public. Différentes activités culturelles y sont organisées.  Il est possible de louer les lieux pour des fêtes privées, séminaires ou activités d'entreprises.
Ce château est également connu sous le nom d'Emmaburg : selon la légende, c'est là qu'Emma, une des filles de Charlemagne, serait venue retrouver son amant

Après avoir dépassé une barrière, on parvient à un vaste embranchement. Banc. On continue tout droit sur une petite route locale qui franchit la Gueule puis entame une montée.
Peu avant l'extrémité d'un mur de pierre, à main droite, on passe devant une borne rappelant la mort d'un forestier à cet endroit, en 1885.

Au cours de la montée, on découvre progressivement, sur la droite, le château d'Eyneburg. Mais on ne poursuit pas jusqu'à la hauteur de celui-ci. Juste avant un petit étang sur la gauche (banc), on tourne à gauche sur un chemin empierré (balise : rectangle jaune).
Quelques mètres plus loin, on oblique vers la droite sur un sentier partiellement empierré qui longe un bois (balises : rectangle jaune, rectangle vert).
Après 400 mètres environ, ce sentier oblique à droite et pénètre dans le bois. On suit ce sentier en négligeant toutes les voies latérales.

On quitte le bois par une chicane donnant accès à une prairie.
On traverse celle-ci en ligne droite, on franchit une autre chicane, on continue sur un chemin forestier. Après 220 mètres, on débouche sur une route locale que l'on suit vers la gauche. 200 mètres plus loin, à l'embranchement avec un chemin empierré, on continue tout droit sur un petit chemin qui se glisse sous le feuillage d'un "tunnel végétal".

Après un parcours d'environ 700 mètres, on débouche sur un chemin asphalté, près de plusieurs habitations. On parvient ensuite à une route, à la limite d'Astenet.
Coord. GPS : N 50° 42.192, E 6° 1.984

On traverse cette route avec circonspection et l'on continue en face, en léger décalage vers la droite, sur une petite route asphaltée qui longe la Gueule.
Après 200 mètres environ, on quitte l'asphalte pour emprunter à gauche un sentier discret qui longe la rivière au plus près.
On retrouve la petite route un peu plus loin, juste avant qu'elle ne s'écarte de la Gueule.

A l'embranchement qui suit, on prend à gauche (balise : rectangle bleu et blanc).

Un peu plus loin, on parvient à un Y : le chemin de gauche franchit la Gueule sur une passerelle, le chemin de droite donne accès à un terrain de camping.
20 mètres avant ce Y, on quitte l'asphalte et l'on franchit à droite un portillon de couleur verte (balise: rectangle bleu et blanc).

Quelques mètres plus loin, on passe un autre portillon, et on poursuit en direction d'un viaduc de chemin de fer : le viaduc de Hammer (Hammerbrücke).
Inauguré en 1843, ce viaduc a été dynamité en mai 1940, reconstruit, puis détruit à nouveau en septembre 1944. Il a été reconstruit dans le cadre du tracé de la nouvelle ligne TGV.

A hauteur d'un espace d'équitation (banc), on franchit un portillon puis une clôture (veiller à bien la refermer !). On passe ensuite sous le viaduc (panneau didactique).

Deuxième section : du Hammerbrücke au château Thor (7,200 km)

On entame une montée (barrière à refermer).
Un portillon donne ensuite accès à une prairie que l'on traverse en ligne droite, passant au pied d'un mirador de chasse. Puis on quitte ce pré par un autre portillon.
On débouche alors sur une petite route locale. Banc. On suit cette route vers la gauche (balises: rectangle bleu et blanc, et marquage GR).



Au bas d'une descente, on tourne à gauche (banc), on traverse la Gueule sur un pont de bois, et l'on pénètre dans un bois d'épicéas, sur un chemin empierré.
On entame une nouvelle montée.
Lorsque l'on arrive au replat, on prend à droite un sentier en montée plus forte (balises : rectangle bleu et blanc, et marquage GR).

Au sommet de cette montée, on quitte le bois en franchissant une chicane. On traverse une prairie sans dévier, en direction d'un chemin bien visible juste en face.
On suit ce chemin sur quelques dizaines de mètres, puis on contourne une barrière par une chicane.
On continue tout droit, on passe près d'un grand bâtiment, et l'on arrive à un T. On tourne à droite.
On franchit à nouveau la Gueule, sur une passerelle. On poursuit sur un chemin empierré, partiellement herbeux. 100 mètres plus loin, à la bifurcation, on tourne à gauche.

Après quelques dizaines de mètres, ignorant un chemin à droite, on continue tout droit sur un sentier qui longe par la gauche un chemin privé (balise : marquage GR).
Ce sentier nous conduit à un étang, qu'on longe par la gauche après avoir franchi un portillon. On côtoie à nouveau la Gueule.
On franchit celle-ci sur une passerelle. Le chemin vire à droite et se glisse entre une haie et une clôture. Il débouche sur une route.

On tourne alors à droite, on traverse la route, et l'on prend une rue à gauche : la Göhlstrasse. On passe devant une auberge : "Zur Geul". Nous sommes ici à Hauset.
On arrive ainsi à un T, où l'on prend à droite. On franchit à nouveau la Gueule. Balises : rectangle bleu et blanc, marquage GR.

Une montée nous conduit à un embranchement à la lisière d'un bois. On tourne à droite et, contournant une barrière, on s'engage sur un chemin empierré qui longe l'orée du bois puis pénètre dans celui-ci.
A la sortie du bois, on dépasse une autre barrière et l'on continue tout droit sur un chemin asphalté bordé de villas.

On débouche sur une route, on la traverse. Bancs (à côté d'une croix de pierre). On continue tout droit sur un empierré.
On contourne une barrière, on passe à côté d'une cabine électrique, on pénètre dans un bois : le Buchenbusch.
Après 500 mètres environ, on arrive au lieu-dit "An den Sieben Weihern". On longe deux étangs.

On contourne à nouveau une barrière et, au croisement qui suit aussitôt, on continue tout droit, sur un chemin asphalté (poteau indicateur : Kirchbusch – Walhorn ; balise : rectangle rouge).
Quelques mètres plus loin, le chemin asphalté vire à droite. Nous le quittons aussitôt pour reprendre, vers la gauche, notre direction initiale, sur un chemin empierré quasi rectiligne.

A hauteur d'une parcelle déboisée à main droite, on dépasse un chemin venant de gauche (balises : rectangle rouge, cercle bleu). Un peu plus loin on franchit un ruisseau sur une petite passerelle. Banc.
Un panneau nous indique ensuite qu'il est interdit de s'écarter du chemin ("chasse gardée").

Un peu plus loin on parvient à un croisement avec une voie carrossable empierrée. On continue tout droit, passant au-dessus du tunnel de la nouvelle voie de chemin de fer.
Au T qui se présente aussitôt, on prend vers la droite, et l'on poursuit dans le bois, sur un chemin empierré.

On sort bientôt du bois. On continue sans dévier, sur un chemin bordé d'arbres, entre prairies. On retrouve ensuite un ruban d'asphalte.
Au croisement qui se présente ensuite, on tourne à gauche (balises : rectangle bleu et blanc, et marquage GR).

100 mètres plus loin, on tourne à droite, et l'on passe au-dessus d'une voie de chemin de fer.
Il faut ici se montrer attentif !
Juste après le muret du pont de chemin de fer, on se glisse entre ce muret et une clôture en béton, et l'on emprunte un petit sentier en descente, parallèle à la voie de chemin de fer.
(Le passage qui suit peut parfois être partiellement envahi par de la végétation.)

Ce sentier se termine par une chicane qui donne accès à un pré. On traverse celui-ci en diagonale, en direction d'une chicane en bois bien visible dans l'angle opposé de la prairie.

Au-delà de cette chicane, on poursuit dans un autre pré, en longeant une haie à main gauche.
Une autre chicane permet de poursuivre dans le pré suivant, sans dévier, longeant toujours la haie puis la clôture.
On sort du pré par une grille en fer, en face d'une chapelle.

On traverse une route (abribus à droite), on passe devant la chapelle (dédiée à Saint Jean-Baptiste). Banc, panneau didactique. Nous sommes ici à Astenet.
En face de nous, une demeure ancienne : le château Thor.
Coord. GPS : N 50°41.452, E 6°2.005


Troisième section : du château Thor au Hohnbachtal (3,700 km)

Laissant, à main gauche, le château Thor, on franchit un ruisseau (le Lontzenerbach) et, après un virage à gauche, on longe celui-ci sur 150 mètres environ.

Ayant dépassé ce ruisseau, on poursuit sur une trentaine de mètres et l'on tourne à droite, rue de l'Institut (Stifstrasse), en direction d'un grand bâtiment : c'est le "Katharinenstift Astenet", une maison de repos et de soins.
Juste avant ce bâtiment, on tourne à gauche en direction d'une chapelle, que l'on contourne par la gauche. Bancs.  

Laissant à main gauche une passerelle qui est interdite d'accès pour des raisons de sécurité, on contourne au plus près, par la droite, un bassin circulaire et l'on accède à une prairie. 
On traverse celle-ci en oblique, pour passer entre deux haies, où l'on doit franchir une chicane (balise : marquage GR). On ignore un chemin à droite. On continue dans une prairie en obliquant vers la droite pour atteindre une passerelle sur un ruisseau : c'est à nouveau le Lontzenerbach (balises : losange vert et marquage GR).

On passe un tourniquet pour pénétrer dans le pré suivant, que l'on traverse sans changer de direction. On franchit un autre tourniquet, à l'angle de la prairie, on continue en obliquant légèrement à gauche.
On parvient ainsi à un autre tourniquet, à gauche de maisons qui se trouvent en bordure de la  prairie. Le sentier se glisse alors entre la clôture du pré et une haie. On poursuit sur une allée empierrée qui débouche sur une route.
On tourne à gauche. Panneau indiquant "Lontzen".

80 mètres plus loin, juste après la maison n° 153, on tourne à droite pour prendre le chemin du Moulin (Mühlenweg).
On arrive bientôt à une bifurcation. Banc. On continue tout droit sur un chemin asphalté, ignorant un chemin à droite (balise : rectangle jaune, marquage GR). Banc 300 mètres plus loin.
140 mètres après ce banc, on rencontre, sur la droite, un chemin empierré partiellement herbeux, barré par une chaîne. On s'y engage (balises : rectangle jaune, marquage GR). Petit abri.
On néglige un chemin à gauche (qui peut être fermé par une grille), et un tourniquet à droite.
Le chemin devient ensuite de plus en plus herbeux (balise : rectangle rouge et blanc). Banc.

Le chemin devient sentier. Il nous conduit à une passerelle sur le Lontzenerbach. On poursuit sur un sentier caillouteux.
On passe à hauteur d'une maison et on s'engage sur un chemin asphalté en montée.
100 mètres plus loin, on tourne à droite, à angle aigu, sur un chemin herbeux. Banc.
Le chemin vire à gauche.

Au croisement avec un autre chemin herbeux, on continue tout droit sur un sentier assez sauvage (balise : rectangle rouge et blanc).
On retrouve le Lontzenerbach, qui change de nom pour devenir le Hohnbach, puis on entame une montée.


Quatrième section : retour à Moresnet (6,300 km)

On néglige une piste herbeuse sur la gauche, et l'on pénètre dans la Forêt domaniale du Hohnbachtal. Panneau didactique.
Le sentier, pittoresque et accidenté, se glisse bientôt entre deux talus.

Après une montée assez longue, on rejoint un chemin herbeux, toujours en montée.
En haut de celle-ci on arrive à un croisement, devant une chapelle datant de 1732. On continue tout droit (plaque : "Schmalgraf"). Un peu plus loin, table, bancs, panneau didactique.
On suit ce chemin asphalté sans dévier, jusqu'à la grand-route (Nationale 3, plaque "Chaussée de Liège").

On traverse la chaussée de Liège avec circonspection. On continue tout droit sur un sentier herbeux, entre les maisons n° 59 et 60. Nous nous trouvons ici sur le sentier vicinal n° 41 de Montzen.
On franchit une chicane puis un tourniquet, on traverse une prairie en obliquant légèrement vers la droite (attention si vous faites le détour par la droite, le long des clôtures : une cavité souterraine, béante mais peu visible, n’est pas sécurisée !).
On franchit un autre tourniquet, puis un échalier, on traverse un ruisseau (le Leverbach) sur une dalle et l’on oblique à droite vers un portillon.



On rejoint un chemin asphalté que l’on suit vers la droite sur environ 190 mètres, passant à côté de deux habitations et d’un banc, et retraversant ensuite le Leverbach.

30 mètres après le banc, juste avant une maison, on tourne à gauche sur un chemin qui, après quelques mètres, pénètre dans un bois.
On parvient à un Y, on prend à gauche.
Quelques mètres plus loin, on rencontre un nouvel embranchement : on tourne à nouveau à gauche, sur un sentier forestier qui descend en restant proche de la lisière du bois.

On sort du bois et l'on continue sur un sentier herbeux, toujours en descente, entre deux prairies.
Au bas de cette descente, on se glisse entre deux pierres levées, et l'on pénètre dans un bois. On poursuit sur un sentier sinueux, passant à côté d'un mur en ruine.
On franchit à nouveau le Leverbach, sur une passerelle munie d’un garde-corps.

Une petite remontée nous mène au-dessus d'un talus qui domine un chemin empierré. Une courte descente (le dernier mètre est raide) permet de rejoindre ce chemin. On le suit vers la droite. Banc un peu plus loin.

On dépasse quelques maisons. On arrive à une route, on la traverse avec prudence, et on poursuit en face, en léger décalage sur la droite (balise : rectangle rouge et blanc).
Au Y qui se présente aussitôt, on choisit la gauche.

On passe sous le viaduc de Moresnet, puis on croise à nouveau la route. On continue tout droit sur un chemin empierré.
Après avoir côtoyé, à main gauche, un long talus partiellement rocheux, on arrive à un pont sur la Gueule.
40 mètres plus loin, on tourne à droite, à angle aigu, et l'on s'engage sur un petit chemin en descente. On rejoint ainsi la rivière. Poursuivant vers la gauche, on suit celle-ci en rive droite.



Après avoir traversé une prairie sans s'éloigner de la rivière, on franchit une étroiture. Un sentier, d'abord herbeux, nous ramène alors au village, où nous retrouvons notre point de départ.

Possibilités de boisson ou de restauration :

A Moresnet : le Rétro, 67 rue du Village. (Il est habituellement fermé du lundi au mercredi.)